Convertir kilogramme-force/par millimètre carré en pouce de mercure (60°F)
Veuillez fournir les valeurs ci-dessous pour convertir kilogramme-force/par millimètre carré [kgf/mm^2] en pouce de mercure (60°F) [inHg], ou Convertir pouce de mercure (60°F) en kilogramme-force/par millimètre carré.
Comment convertir Kilogramme-Force/par Millimètre Carré en Pouce De Mercure (60°f)
1 kgf/mm^2 = 2904.08220679035 inHg
Exemple: convertir 15 kgf/mm^2 en inHg:
15 kgf/mm^2 = 15 × 2904.08220679035 inHg = 43561.2331018553 inHg
Kilogramme-Force/par Millimètre Carré en Pouce De Mercure (60°f) Tableau de conversion
kilogramme-force/par millimètre carré | pouce de mercure (60°F) |
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Kilogramme-Force/par Millimètre Carré
Le kilogramme-force par millimètre carré (kgf/mm²) est une unité de pression représentant la force d'un kilogramme-force appliquée sur une surface d'un millimètre carré.
Histoire/Origine
L'unité provient de l'utilisation du kilogramme-force, une unité de force gravitationnelle basée sur le kilogramme, et était couramment utilisée en ingénierie et en science des matériaux pour mesurer la pression avant l'adoption des unités SI. Son usage a diminué avec la standardisation du pascal (Pa).
Utilisation actuelle
Aujourd'hui, le kgf/mm² est encore utilisé dans certains domaines de l'ingénierie, notamment dans la résistance des matériaux et la mesure de la pression, mais il est largement remplacé par les unités SI comme le pascal (Pa) ou le mégapascal (MPa).
Pouce De Mercure (60°f)
Le pouce de mercure (60°F) est une unité de mesure de la pression représentant la hauteur d'une colonne de mercure de 1 pouce à 60°F sous la gravité standard.
Histoire/Origine
Initialement utilisé en barométrie et en météorologie, le pouce de mercure est une unité standard pour mesurer la pression atmosphérique dans le système impérial depuis le XIXe siècle.
Utilisation actuelle
Il est encore utilisé dans certaines régions, comme les États-Unis, principalement pour mesurer la pression atmosphérique dans les rapports météorologiques et l'aviation, bien qu'il soit progressivement remplacé par le Pascal dans les contextes scientifiques.