Convertir kilocalorie (IT)/heure en erg/seconde
Veuillez fournir les valeurs ci-dessous pour convertir kilocalorie (IT)/heure [kcal/h] en erg/seconde [erg/s], ou Convertir erg/seconde en kilocalorie (IT)/heure.
Comment convertir Kilocalorie (It)/heure en Erg/seconde
1 kcal/h = 11630000 erg/s
Exemple: convertir 15 kcal/h en erg/s:
15 kcal/h = 15 × 11630000 erg/s = 174450000 erg/s
Kilocalorie (It)/heure en Erg/seconde Tableau de conversion
kilocalorie (IT)/heure | erg/seconde |
---|
Kilocalorie (It)/heure
La kilocalorie par heure (kcal/h) est une unité de puissance représentant le taux auquel l'énergie en kilocalories est transférée ou convertie par heure.
Histoire/Origine
La kilocalorie, souvent utilisée en nutrition et en mesure d'énergie, a été adoptée comme unité d'énergie. Son utilisation en mesure de puissance, comme le kcal/h, est apparue dans des contextes tels que les calculs de puissance thermique et calorique, notamment dans les domaines liés au chauffage et au transfert d'énergie.
Utilisation actuelle
Le kcal/h est utilisé dans des applications impliquant la puissance thermique, telles que les systèmes de chauffage, la calorimétrie et les calculs de transfert d'énergie où le flux d'énergie est exprimé en kilocalories par heure.
Erg/seconde
L'erg/seconde (erg/s) est une unité de puissance représentant le taux de transfert ou de conversion d'énergie, où un erg par seconde équivaut au transfert d'un erg d'énergie par seconde.
Histoire/Origine
L'erg est une ancienne unité d'énergie du système CGS (centimètre-gramme-seconde), introduite au début du XXe siècle pour les calculs scientifiques. L'erg/seconde était utilisé en physique pour quantifier la puissance dans des contextes où le système CGS était prédominant, notamment en astrophysique et en physique théorique.
Utilisation actuelle
Aujourd'hui, l'erg/seconde est rarement utilisé en dehors des domaines scientifiques spécialisés ; l'unité SI watt (W) est préférée pour mesurer la puissance. Cependant, erg/s peut encore être rencontré dans des données historiques, en astrophysique ou lors de travaux avec des calculs basés sur le CGS.