Convertir kilocalorie (th)/minute en femtojoule/seconde
Veuillez fournir les valeurs ci-dessous pour convertir kilocalorie (th)/minute [kcal(th)/min] en femtojoule/seconde [fJ/s], ou Convertir femtojoule/seconde en kilocalorie (th)/minute.
Comment convertir Kilocalorie (Th)/minute en Femtojoule/seconde
1 kcal(th)/min = 6.97333333e+16 fJ/s
Exemple: convertir 15 kcal(th)/min en fJ/s:
15 kcal(th)/min = 15 × 6.97333333e+16 fJ/s = 1.0459999995e+18 fJ/s
Kilocalorie (Th)/minute en Femtojoule/seconde Tableau de conversion
kilocalorie (th)/minute | femtojoule/seconde |
---|
Kilocalorie (Th)/minute
La kilocalorie (th)/minute est une unité de puissance représentant l'énergie en kilocalories (thermochimiques) transférée ou consommée par minute.
Histoire/Origine
La kilocalorie (th) est une unité traditionnelle utilisée pour mesurer l'énergie, notamment en nutrition et en thermodynamique, dont l'utilisation remonte à la calorimétrie ancienne. La notation par minute indique un taux de transfert d'énergie au fil du temps.
Utilisation actuelle
Cette unité est principalement utilisée dans des contextes scientifiques impliquant des taux de transfert d'énergie thermique, tels que la calorimétrie, la thermodynamique et certaines applications d'ingénierie où le flux d'énergie est mesuré en kilocalories par minute.
Femtojoule/seconde
Un femtojoule par seconde (fJ/s) est une unité de puissance représentant le taux de transfert d'énergie d'un femtojoule (10^-15 joules) par seconde.
Histoire/Origine
L'unité femtojoule/seconde est apparue avec le développement de mesures de haute précision en nanotechnologie et en physique quantique, où des taux de transfert d'énergie extrêmement faibles sont pertinents. Elle est dérivée des unités SI d'énergie (joule) et de temps (seconde), avec 'femto' indiquant 10^-15.
Utilisation actuelle
Le femtojoule/seconde est utilisé dans la recherche scientifique pour quantifier des niveaux de puissance très faibles, notamment dans des domaines comme la nanotechnologie, l'informatique quantique et la physique moléculaire, où les taux de transfert d'énergie sont extrêmement faibles.